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MILITER POUR LES FEMMES OU MILITER POUR L'IMAGE ? LES DEUX FACES DE LA LUTTE FÉMINISTE EN HAÏTI

 MILITER POUR LES FEMMES OU MILITER POUR L'IMAGE ? LES DEUX FACES DE LA LUTTE FÉMINISTE EN HAÏTI  Parmi les 165 pays dotés de lois contre la violence domestique, seuls 104 disposent d'une législation exhaustive sur la violence domestique. Et cette forme de violence est l'une parmi tant d'autres auxquelles les femmes font face tous les jours dans le monde.  Les violences faites aux femmes revêtent une pluralité de formes, qui vont bien au-delà de l’agression physique. Il s’agit d’un phénomène global, systémique, qui touche toutes les sphères de la vie sociale : familiale, professionnelle, politique et intime. Parmi les types les plus répandus, on retrouve les violences physiques, sexuelles, psychologiques, économiques, institutionnelles et même symboliques. Ces violences, souvent imbriquées les unes aux autres, traduisent un déséquilibre de pouvoir profondément ancré dans les structures patriarcales de nombreuses sociétés. Qu’elles soient commises dans le silence du foye...

Tirésias Simon Sam, Je suis le dernier président d'Haïti !!!

 


Tirésias Simon Sam, Je suis le dernier président d'Haïti !!!

En réalité, Haitichala apporte simplement un élément de réponse à votre question. En prononçant ces mots, Tirésias Simon Sam nous plonge dans la perplexité. Avant d’analyser cette déclaration, il convient de rappeler qu’avant même son accession au pouvoir, Haïti avait connu plusieurs chefs d’État victimes d’assassinats ou de destitutions. Rares sont ceux qui ont eu la chance de terminer leur mandat.

Tirésias Simon Sam a pris le pouvoir dans un contexte particulièrement difficile et a dirigé le pays de 1896 à 1902. Il a tenté d’apporter une certaine nouveauté à la politique haïtienne, mais, comme ses prédécesseurs, son impact est resté limité. Lorsqu’il a prononcé cette phrase, plusieurs interprétations sont possibles. Peut-être estimait-il que, s’il avait bénéficié de plus de temps, il aurait pu accomplir davantage. Il est aussi possible qu’il anticipait la difficulté pour ses successeurs de mener leur mandat à terme, compte tenu de l’instabilité politique chronique du pays. Enfin, avec beaucoup de prudence, on pourrait voir dans cette déclaration une forme de conviction qu’il était l’un des meilleurs présidents de l’histoire haïtienne. Cependant, cette affirmation reste sujette à débat, d’autant plus que d’autres chefs d’État, comme Dumarsais Estimé, ont également laissé une empreinte positive en apportant un soutien précieux au peuple haïtien.

En somme, cette question, bien que fascinante, ne trouve pas de réponse immédiate et définitive. Elle doit nous pousser à une réflexion plus profonde sur notre destinée en tant que peuple ainsi que sur la gouvernance de nos dirigeants.

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