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Le conflit Iran-Israël , le grand basculement du monde post-moderne?

Le conflit Iran-Israël , le grand basculement du monde post-moderne?   Le conflit entre Israël et la République islamique d’Iran, qui débute le 13 juin par des bombardements aériens de Tel-Aviv sur des sites stratégiques iraniens, constitue le point culminant d’une tension qui s’est aggravée au fil des années. Ces deux États, désormais ennemis jurés, s’affrontent bien au-delà des seules rivalités géopolitiques dans une région aussi instable que complexe : le Moyen-Orient. Il convient toutefois de rappeler qu’ils n’ont pas toujours été adversaires. La République islamique d’Iran et l’État d’Israël ont des histoires profondément différentes. L’Iran est l’héritier d’une civilisation plurimillénaire — la civilisation perse — qui remonte à plus de 5 000 ans. C’est un pays vaste, d’une superficie de plus d’un million de kilomètres carrés, et qui compte aujourd’hui environ 92 millions d’habitants. Il se distingue également par sa diversité ethnique : Perses, Azéris, Kurdes, Juifs, Druzes,...

LES SENTIMENTS QUI NOUS ATTRAPENT ET NOUS DÉPASSENT

LES SENTIMENTS QUI NOUS ATTRAPENT ET NOUS DÉPASSENT

Dans une vie où l'envie, le besoin, le désir et la nécessité nous imposent leurs lois d'accomplissement et de possession, nous courons tous, chacun à la poursuite de son objectif personnel, en quête de réalisations intimes. Effectivement, la réalité de la vie nous contraint à nous efforcer d’accomplir des choses, en lien avec nos rêves, notre vision, et parfois même pour plaire à la société. Derrière chaque réussite personnelle se cachent souvent des sacrifices, des efforts persistants malgré les nombreux obstacles. L’essentiel, c’est peut-être d’avoir la force de se regarder un jour dans un miroir et de se dire : « Voilà ce que j’ai accompli. » Telle est, semble-t-il, la quête de l’homme.

Parfois, le temps défie nos réalisations et en diminue progressivement la valeur, emportées par la modernisation et les exigences d’un monde en perpétuelle transformation. Ainsi, l’homme, animé par une soif constante, poussé par son ego, se sent dans l’obligation de fournir toujours plus d’efforts pour améliorer ce qu’il a construit. Mais en courant derrière toutes ces choses, on finit par comprendre que le matériel ne suffit pas toujours à nous combler. Ce moment de lucidité survient souvent lorsque l’on se retrouve face à une personne chère — un parent, un conjoint, un enfant, un(e) ami(e)  allongée sur un lit d’hôpital, suspendue entre la vie et la mort.

Alors, tout devient clair. Les maisons, les voitures, l'argent ne sont pas les biens les plus précieux. Malheureusement, cette prise de conscience survient souvent trop tard, quand on est impuissant devant une triste réalité. On comprend, malgré son importance, que le matériel ne remplacera jamais certaines choses essentielles. Quand vous avez tout dépensé, que vous êtes à bout de forces, et que la personne que vous aimez repose sans vie, vous réalisez douloureusement que vous ne pouvez plus rien faire pour elle.

À ce moment-là, vous comprenez qu’il n’y a rien de plus précieux que la vie. Si votre conscience est encore éveillée, c’est le moment d’aimer, d’apprécier profondément ceux qui vous sont chers. Car un jour, un ennemi commun — la mort — viendra vous arracher à eux, ou eux à vous. Et cela, ce sont des lois qui nous dépassent.

Auteur : BOSSE CLIFORD

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