La jeunesse et la nation : entre rêves individuels et responsabilités collectives
La jeunesse et la nation : entre rêves individuels et responsabilités collectives
Quand on parle de jeunesse, on pense tout de suite à l’élan, à la passion, à l’envie de changer les
choses. C’est l’âge des rêves, mais aussi des grandes questions : quel avenir voulons-nous ? Que
pouvons-nous apporter à notre pays ?
Chaque jeune porte en lui une ambition. Certains veulent briller dans leurs études, d’autres
rêvent d’entreprendre, de voyager, de créer, ou tout simplement de vivre mieux que leurs parents.
Ces rêves ne sont pas égoïstes. Ce sont des moteurs. En cherchant à se réaliser, les jeunes
innovent, déplacent les lignes, ouvrent des chemins que personne n’avait encore empruntés.
Mais ces ambitions personnelles ne peuvent se détacher totalement de la réalité du pays dans
lequel ils vivent. Grandir, réussir, avancer, c’est aussi prendre conscience qu’on fait partie d’un
tout. Qu’il y a une société à construire, des injustices à combattre, des voix à porter. Que le bien
commun est aussi une affaire de jeunesse.
Ce n’est pas une contradiction. On peut suivre ses rêves tout en s’engageant pour les autres. Un
jeune médecin peut choisir de travailler dans une zone reculée. Un créatif peut mettre son art au
service de causes sociales. Une entrepreneure peut lancer un projet qui crée de l’emploi autour
d’elle. Chaque rêve peut devenir un levier de transformation.
Et c’est là toute la force de cette génération. Capable de rêver fort, mais aussi d’agir avec
conscience.
Même quand on nous fait croire qu’il faut s’oublier pour servir la cause du pays, même quand on
nous pousse vers des chemins qui ne sont pas les nôtres, il est essentiel de ne pas perdre de vue
qui l’on est. Servir sa nation ne devrait jamais signifier s’effacer totalement. Il est possible de
contribuer sans s’effondrer, d’aider sans se nier, d’agir pour les autres tout en respectant ses
propres désirs.
Savoir pourquoi on fait ce qu’on fait, c’est déjà un acte de résistance intérieure. C’est ce qui
permet de tenir bon, de rester intègre, de briller dans ce qu’on entreprend. Parce qu’en réalité, on
n’aide jamais aussi bien que lorsqu’on est soi-même aligné avec ses valeurs. La jeunesse n’a pas
à choisir entre s’accomplir et être utile. Elle peut faire les deux, avec lucidité et cœur.
C’est en associant liberté individuelle et responsabilité collective qu’elle bâtira une société plus
humaine, plus juste, plus vivante.
Car la jeunesse, c’est le cœur battant de la nation.
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